La Gazette Nostalgique – Août 2020
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Le véritable voyage sur-mesure depuis 1994 : Une âme, un savoir-faire
Le véritable voyage sur-mesure depuis 1994 : Une âme, un savoir-faire
Le véritable voyage sur-mesure
depuis 1994 : Une âme, un savoir-faire
Location de voiture Chili : Pourquoi ne pas partir sur l’Altiplano chilien après la traversé du désert d’Atacama ? Les plaines d’altitudes du Chili offrent des destinations aussi variées que la ville fantôme d’Humberstone, le site de Ceero Pintados, le village de Codpa ou la faune du salar de Surire.
Carnet de voyage
Calama – Tocopilla – Iquique – Pica – Mamina – Codpa – Putre – Salar de Surire – Putre – Lac Chunguara – Arica – Santiago
Nous roulons vers l’ouest pour rejoindre l’océan Pacifique à Tocopilla. Puis nous longeons la côte où il est possible d’observer quelques villages de pêcheurs avant d’atteindre la ville d’Iquique.
Excursion pour la journée au coeur du monde désolé de la Pampa Tamarugal. Visite de Humberstone, la ville fantôme, et des pétroglyphes de Cerro Pintados, un site fabuleux où les alignements de pierres forment un puzzle de plus de 400 figures aux significations encore non élucidées. Arrivée à l’oasis de Pica, ville des citrons, baignade dans les thermes naturelles puis visite des villages de Matilla et La Tirana. Transfert au village pré-altiplanique de Mamiña où nous attendent d’autres thermes naturelles.
Traversée des étendues désertiques où on exploitait le nitrate de sodium. Visite de “l’hacienda de Tiliviche”, ranch dans une vallée verdoyante, où se reposaient les grands propriétaires anglais. Puis nous remontons sur le village pré-altiplanique de Codpa où nous logeons dans un petit hôtel.
Départ pour le village de Putre, niché dans une vallée cultivée en terrasse, entourée par les impressionnants contreforts andins (5800m). Nous visitons tous les villages typiques de la région: Belen, Tignamar, Chapiquiña, etc… pour avoir un aperçu de l’histoire et la vie journalière des habitants de ce secteur méconnu. Arrivée à Putre (3400m)
Excursion au salar de Surire (lac salé). “Surire” signifie autruche en langue Aymara; en effet ici abondent les nandous (autruches des Andes). On pourra également observer lamas, vigognes, flamands roses ou même condors. Bain dans les thermes au pied du volcan Arintica et dans un décor andin exceptionnel. Retour à Putre.
Montée au lac Chungará (4500m), le plus haut du monde, situé au pied du volcan Parinacota (6342m), l’un des plus beaux sommets du Chili. Visite du parc national Lauca et vue imprenable sur le plus haut sommet de Bolivie, le Sajama (6520m).
Visite de la vallée d’Azapa aux nombreux sites archéologiques précolombiens. Transfert à l’aéroport et retour sur Santiago.
Actualités du pays
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La Gazette Nostalgique – Juin 2020
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Calama doit son développement à de petites exploitations minières mais aussi à ses liens commerciaux avec la Pampa Union qui fournit les oficinas de la Pampa Salitrera. Ce sont les premiers forages de la mine de Chuquicamata, en 1911, qui vont être à l’origine de sa grande extension. C’est un peu la ville dortoir de la mine où l’on vient dépenses son salaire. Puis 1951 est une année clef pour la ville, d’une part avec l’ouverture de la première ligne aérienne mise en service, entre Santiago et Calama, d’autre part grâce au détournement des eaux de rio Salado. Les découvertes récentes de lithium mais aussi de pétrole dans le salar d’Atacama devraient encore contribuer à la bonne fortune de Calama.
Pica est une typique oasis de désert. Elle jouit toute l’année d’un climat privilégié qui en fait un paradis du fruit : mangues, goyaves, pamplemousses… Elle a été longtemps un centre important de la vie pré-hispanique. On y a découvert les preuves d’une présence humaine qui remonterait à 6000 avant notre ère.
Mamina se trouve à 2700 m d’altitude. Remarquable pour son schéma urbain et son architecture, ce village d’environ 500 hts a sans doute été construit sur l’emplacement d’un ancien site indien, sorte de montagne-ile au milieu de la vallée. Les amateurs d’eaux thermales ne doivent pas manquer ses sources : Le Vertiente El Tambo, Le Vertiente El Radium…, riches en éléments naturels plus dynamisants les uns que les autres. Une légende veut que la fille unique d’un seigneur Inca ait retrouvé la vue après s’être baignée dans les eaux thermales du site. En remerciement aux forces de la nature, elle ordonna que l’on nomme désormais le lieu “la prunelle de mes yeux” (La nina de mis ojos).
Putre fut construite par les espagnols en 1580, sur les restes d’habitations indiennes. Aujourd’hui, elle compte 1200 hts et certaines maisons ont conservées façades et portails en pierre du 17e siècle. Mais c’est sans doute son église qui est le plus bijou du village. Elle fut construite en 1670 et présente son clocher d’origine.
Situé à 4500 mètres d’altitude, c’est le plus haut lac du monde et sans doute l’un des plus majestueux. De couleur émeraude, il est entouré d’une couronne de volcans enneigés, le Parinacota, le Sajama et le Quisiquisini.
La situation géographique d’Arica, à l’embouchure du fleuve Azapa – une situation qui lui permet un approvisionnement en eau et une végétation assez luxuriante en comparaison avec le reste du Grand Nord – lui a très tôt conféré un rôle de foyer de peuplement. Actuellement, son statut de port libre ne lui confère plus d’avantage du fait des accords de libre échange, mais elle a su garder son dynamisme économique grâce au commerce, à la penche et au tourisme. Arica est en effet devenue le lieu de villégiature privilégié des Boliviens mais aussi des Péruviens voisins, des touristes étrangers et des Chiliens. Ses plages de sable, ses palmiers et une zone piétonne assez animée lui confèrent un charme bien à elle. Si Iquique semble plus intéressante par son architecture et ses maisons gorgiennes, Arica est sans doute plus à même de jouer un rôle de station balnéaire.
La capitale du Chili possède un centre relativement petit formant un triangle approximatif, délimité au nord par le rio Mapocho. Des avenues et des places imposantes, bordées de bâtiments publics, d’églises et de parcs composent le paysage urbain hérité de la colonisation espagnole.
La visite passe par le mercado central, un marché haut en couleur, le centre historique de la plaza de Armas et le paseo Ahumada, une galerie piétonnière peuplée de musiciens et de marchands ambulants. Construit à la fin de l’époque colonial, l’énorme palais de la Moneda, la résidence présidentielle, reste associé au coup d’État de 1973. Parmi les nombreux musées, le musée Précolombien, joliment aménagé, mérite une attention particulière. Le musée de Santiago expose des dioramas et des reconstitutions concernant l’urbanisme de la ville. Le palacio de Bellas Artes, conçu sur le modèle du Petit Palais de Paris, renferme une belle collection d’art chilien et européen.
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