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21 jours/19 nuits
3135€ TTC

Trek Chili et Bolivie en vingt et un jours

Durée : 21 jours/19 nuits

Trek Chili et Bolivie : Ici on est au cœur des Andes, dans les contrées inhospitalières aux paysages somptueuses, au prix des journées de marche. Pour les trekkeurs chevronnés ou aventuriers dans l’âme.

Carnet de voyage

Déroulement du séjour

Trek Chili et Bolivie en vingt et un jours

Santiago du Chili – Arica – Vallée de la Lluta – Putre – Parc de Lauca – Lagunas Cotacotanis – Salar de Surire – Enquelga – Jirira – Volcan Thunupa – San Pedro de Quemes – Volcan Irupuntunco – Vallée des rochers – Laguna Colorada – Laguna Verde – San Pedro de Atacama – Vallée de la Lune – Geysers del Tatio – Calama – Santiago 

Déroulement du programme

Jour    1    Envol pour Santiago du Chili

Envol pour Santiago du Chili sur une compagnie régulière.

Jour    2   Arrivée –  Santiago du Chili

Accueil et transfert au centre ville. Visite de la place d’Armes, de la cathédrale, du marché central et balade en funiculaire sur la colline San Cristobal. Très beau panorama sur la ville, avec la cordillère des Andes en toile de fond. Hôtel.

Jour    3    Santiago – Arica – Vallée Azapa – Arica

Vol pour Arica. Accueil et transfert à l’hôtel. Déjeuner. Découverte de la vallée d’Azapa. Visite du musée archéologique San Miguel de Azapa qui retrace 10 000 ans d’histoire locale (civilisation Chinchorro). De retour à Arica, visite de l’église San Marcos édifice construit par la société Gustace Eiffel à la fin du XIXe siècle. 2h de route. Nuit à l’hôtel.

Jour    4    Arica – vallée de Lluta – Putre (3500 m)

Départ matinal pour la vallée de Lluta et le village de Putre. En chemin, découverte des cactus candélabres, visite du village aymara de Socorama et de ses cultures en terrasses. 4h de route. Marche d’acclimatation au pied des Nevados de Putre. Residencial.

Jour    5    Putre (3500 m) – Parc de Lauca – Lagunas Cotacotanis (4300 m) – Putre (3500 m)

Découverte du parc national de Lauca, réserve d’une faune abondante : lamas, alpagas, vigognes, vizcachas et une grande variété d’oiseaux. Route jusqu’au lac Chungara, miroir de volcans majestueux : Parinacota (6300 m), Pomerape (6250 m) et Sajama (6500 m). Marche au bord des lagunas Cotacotanis jusqu’au village de Parinacota. Visite de son église du XVIIe siècle. Retour à Putre. Au total 3 à 4h de route. Residencial.

Jour    6    Putre (3500 m) – Salar de Surire (4250 m)

Départ pour la réserve nationale Las Vicuñas. Visite du village de Guallatire. Poursuite jusqu’au salar de Surire. Marche au cœur de paysages insolites et bain dans les sources thermales de Polloquere. 4/5h de route. Refuge ou camp.

Jour    7    Salar de Surire (4250 m) – Enquelga (3850 m)

Splendide traversée au cœur des paysages de l’altiplano avant d’atteindre la laguna Arabilla. Marche jusqu’au village d’Enquelga (300 m de dénivelée). Superbe vue sur le volcan Isluga et l’altiplano bolivien. 4/5h de route. Refuge ou camp.

Jour    8    Enquelga (3850 m) – Jirira (3650 m)

Après un court trajet, visite du très beau village d’Isluga. Poursuite jusqu’à Colchane, village frontière entre le Chili et la Bolivie. Traversée du salar de Coipasa. Arrivée à Jirira, petit village situé au pied du volcan Thunupa sur les rives du Salar d’Uyuni. 5/6h de route. Refuge ou camp.

Jour    9    Jirira (3650 m) – volcan Thunupa – Rives du Salar (3700 m)

Lever matinal et court transfert. La randonnée débute à 3900 m et s’achève sur le bord du cratère à 4800 m : superbe vue sur le salar et les pics rocheux du Thunupa (5200 m). Au retour, visite d’une ancienne tombe pré inca où momies et céramiques sont encore bien conservées. Traversée du salar et installation dans un petit Hostal. 4h de route.

Jour    10    Ilots du salar – San Pedro de Quemes (3700 m)

Cap sur les îles Incahuasi puis Pescado, véritable mirador de ce désert de sel. Marche sur ces îlots au milieu de cactus géants. Poursuite de cette traversée spectaculaire et installation au refuge de San Pedro, à quelques km du salar. 5/6h de route. Refuge.

Jour    11    San Pedro de Quemes (3700 m) – Volcan Irupuntunco (5000 m) – San Pedro de Quilmes (3700 m)

Départ matinal. La randonnée débute au pied du volcan à 4300 m après 3h de jeep. La vue sur un impressionnant cratère de soufre est la récompense de tous ces efforts. En fin d’après-midi, bain possible aux thermes de Caña. (au total, 5/6h de route). Refuge San Pedro.

Jour    12    San Pedro de Quilmes (3700 m) – Refuge Quetena – Vallée des Rochers – Refuge Quetena

Journée plus tranquille dans la vallée des Rochers et marche dans le canyon du Belvédère. Découverte de peintures rupestres. Installation au refuge Quetena 5/6h de route.

Jour    13    Refuge Quetena – Volcan Uturunco (6080 m) – Refuge Quetena

Lever matinal. Une heure de piste jusqu’au départ du trek. Selon conditions d’enneigement, possibilité d’ascension du volcan (6080 m) ou chemin jusqu’au col (5700 m). Très belle vue sur une multitude de lagunes. Refuge Quetena.

Jour    14    Refuge Quetena – Laguna Colorada – Laguna Verde

Cap vers le sud et la laguna Colorada (4300 m), où on peut admirer les icebergs de sel et les flamants roses. Randonnée inoubliable sur les rives de la lagune. Poursuite jusqu’aux geysers ; baignade possible dans les thermes de Sol de Mañana. Puis, route vers la laguna Verde au pied du volcan Licancabur. Route : 4/5h. Refuge ou camp.

Jour    15    Laguna Verde, tranfert – San Pedro de Atacama (2400 m)

Après un court transfert au pied du Licancabur, descente en direction de la laguna Verde et marche le long des rives jusqu’au “mirador” d’où on peut admirer les changements de couleurs de la lagune. Baignade possible dans les thermes tout proches. Route vers la frontière chilienne (1h30). Arrivée au village de San Pedro de Atacama. Hôtel.

Jour    16    San Pedro de Atacama (2400 m) – Vallée de la Lune (2500 m) – San Pedro de Atacama (2400 m) – Tumbre (3900 m)

Après un court transfert, une belle marche s’annonce dans la cordillère de sel au milieu d’étonnantes formations géologiques. Transfert dans l’après-midi dans les environs de Tumbre. 2h30 de route. Camp.

Jour    17    Tumbre (3900 m) – Volcan Lascar (5200 m) – San Pedro de Atacama ( 2400 m)

Cap vers la laguna Lejia (4500 m) au pied du volcan Lascar. Ascension matinale de ce volcan actif. Spectacle unique après 600 m de dénivelée : d’un côté le cratère et ses fumeroles, de l’autre les paysages grandioses de la laguna Lejia sur fond d’altiplano multicolore. Retour à San Pedro. 4h de route. Hôtel.

Jour    18    San Pedro de Atacama (2400 m) – Geysers del Tatio (4325 m)

Matinée libre ; visite de San Pedro et de son musée archéologique. Après le déjeuner, route pour l’altiplano, les geysers del Tatio. 4h de route. Refuge ou camp.

Jour    19    Geysers del Tatio – Calama – Santiago

Balade au lever du soleil au milieu d’un champ de jets de vapeur sur ciel azuré, un beau spectacle. Transfert à l’aéroport de Calama. En route, visite des petits villages aymaras de Caspaña et de Chiu Chiu. 3h de route. Vol pour Santiago. Hôtel.

Jour    20    Santiago – Valparaiso – Santiago

Excursion à Valparaiso : funiculaire du Mont Cerro Artilleria, musée “à ciel ouvert” (peintures murales), maison de Pablo Neruda… 4h de route. Hôtel.

Jour    21    Santiago – vol de retour

Matinée libre à Santiago. Transfert aéroport et vol de retour.

Actualités du pays

Sites à découvrir

 Santiago        

La capitale du Chili possède un centre relativement petit formant un triangle approximatif, délimité au nord par le rio Mapocho. Des avenues et des places imposantes, bordées de bâtiments publics, d’églises et de parcs composent le paysage urbain hérité de la colonisation espagnole.

La visite passe par le mercado central, un marché haut en couleur, le centre historique de la plaza de Armas et le paseo Ahumada, une galerie piétonnière peuplée de musiciens et de marchands ambulants. Construit à la fin de l’époque colonial, l’énorme palais de la Moneda, la résidence présidentielle, reste associé au coup d’État de 1973. Parmi les nombreux musées, le musée Précolombien, joliment aménagé, mérite une attention particulière. Le musée de Santiago expose des dioramas et des reconstitutions concernant l’urbanisme de la ville. Le palacio de Bellas Artes, conçu sur le modèle du Petit Palais de Paris, renferme une belle collection d’art chilien et européen.

Arica  

La situation géographique d’Arica, à l’embouchure du fleuve Azapa – une situation qui lui permet un approvisionnement en eau et une végétation assez luxuriante en comparaison avec le reste du Grand Nord – lui a très tôt conféré un rôle de foyer de peuplement. Actuellement, son statut de port libre ne lui confère plus d’avantage du fait des accords de libre échange, mais elle a su garder son dynamisme économique grâce au commerce, à la penche et au tourisme. Arica est en effet devenue le lieu de villégiature privilégié des Boliviens mais aussi des Péruviens voisins, des touristes étrangers et des Chiliens. Ses plages de sable, ses palmiers et une zone piétonne assez animée lui confèrent un charme bien à elle. Si Iquique semble plus intéressante par son architecture et ses maisons gorgiennes, Arica est sans doute plus à même de jouer un rôle de station balnéaire.

Putre  

Putre fut construite par les espagnols en 1580, sur les restes d’habitations indiennes. Aujourd’hui, elle compte 1200 hts et certaines maisons ont conservées façades et portails en pierre du 17e siècle. Mais c’est sans doute son église qui est le plus bijou du village. Elle fut construite en 1670 et présente son clocher d’origine.

San Pedro de Atacama         

Cette oasis en plein désert d’Atacama fut très tôt investie par les populations atacaméennes, dont ce fut un grand centre culturel, protégé par la forteresse de Quitor. Comme Calama, elle se développa commercialement, se trouvant sur la route qui relie Cobija à Salta. Maintenant sa population se consacre surtout à l’agriculture ou au tourisme. Le village a été occupé par les Incas en 1 450, avant l’invasion espagnole. Comme le reste de la région, San Pedro de Atacama a connu le boom et le déclin du salpêtre, qu’on trouvait en abondance et qui était une grosse source de revenu pour le Chili. Mais après la crise de 1929 et la découverte par les allemands d’un engrais chimique, le cours s’est écroulé et a provoqué l’exode des habitants vers les grandes villes.

En 1955 un missionnaire belge, le Padre Le Paige est arrivé dans le village et a consacré sa vie à l’archéologie dans la région. Son musée est riche de 400 000 milles magnifiques pièces, de fabuleuses momies (dont la célèbre Miss Chile), retraçant toute l’histoire de cette région depuis l’implantation la civilisation Atacamène, il y a maintenant plus de 11 000 ans. L’une des plus anciennes églises du Chili se trouve également à San Pedro. Elle s’élève sur la place principale du village.

Vallée de la Luna      

Située à l’ouest de San Pedro, au bord de la cordillère Domeyko, la Vallée de la Luna tient son nom du Padre Le Paige. En découvrant cette vallée, il fut surpris par les ressemblances avec les premières photos qu’on avait de la Lune, et lui donna donc ce nom. Elle est composée d’un cratère central entouré de roche, qui est complètement différente du reste de la région. Le spectacle est magnifique et le point de vue sur les Andes est superbe.

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