Chez NostalAsie, nous aimons voyager dans un pays par sa cuisine, le Japon est donc une destination privilégiée. Nous savons que nos voyageurs sont des gourmands et des gourmets, mais surtout nous savons que la meilleure façon de voyager est en s’immergeant dans la culture du pays visité. Qui en préparant son séjour au Japon n’a jamais rêvé de manger de vrais sushis préparés par des spécialistes ? De découvrir les ramens mangé dans une gargote dans la rue et rester votre meilleur souvenir de voyage ? A l’occasion de la classification du Washoku au patrimoine immatériel de l’UNESCO, goûtez à la délicate cuisine japonaise et à cet art de la table hors du commun. Un voyage gastronomique au Japon sans bouger de chez vous !
Il en a fallu du temps, mais depuis décembre 2013 le Washoku, la tradition culinaire japonaise a rejoint la liste du patrimoine immatériel de l’UNESCO. C’est autant la qualité gustative que les traditions qui entourent la cuisine japonaise qui revêtent une grande importance. Le Washoku est une harmonie, une façon de penser ce que l’on mange et comment on le mange. Pour le comprendre, il suffit de décomposer les kanjis qui le composent : wa, l’harmonie; shoku, la nourriture. Le Washoku repose sur 5 principes :
Le Washoku prend toute son importance au Nouvel An japonais (qui est le même que chez nous !). Au pays du Soleil Levant, le Nouvel An ne commence pas au 31 décembre, mais bien avant. Peu après Noël, les familles se réunissent et font les provisions d’aliments nécessaires au repas du Réveillon. Les anciens transmettent aux plus jeunes les techniques et les recettes qu’ils ont acquises eux-mêmes de leurs aïeuls. Ainsi l’on retrouve sur la table le soba, une soupe chaude avec des nouilles de sarrasin ou le zoni, un bouillon de boulettes de riz et de légumes.
Au Japon vous retrouvez toujours cette inspiration washoku dans votre assiette. Si vous mangez au ryokan notamment, le plat que l’on vous servira sera végétarien et simple mais gustatif afin de vraiment toucher le cœur de cette tradition japonaise. Ce sont souvent des produits simples (riz, poisson, viande, légumes…) qui sont cuisinés de manière à respecter les principes du washoku. C’est une cuisine saine, diversifiée et qui connaît beaucoup de variante régionale. Notre cheffe de produits a déjà goûtée à cette cuisine lors de son dernier voyage au Japon, voici ses impressions :
« Ce détachement est aussi exprimé sur la table, le goût des aliments bien distingués dans cette cinquantaine de petits mets différents qui composent le kaiseiki: la saison, la mer, la terre, poissons crus et cuits, marinés ou encore fermentés, grains, racines, feuilles, fleurs, viande, champignons… Tout y est présent.
Puis, il y a le souci de détail et de perfection, que je commence à pouvoir détecter à la longueur de la journée […] A l’heure du thé, savoir comment tenir son bol à thé, prendre les gorgées selon les règles de l’art (n’est-ce pas que le chanoyu est-il une expression zen ?), décoder le dessin par rapport à la maison de thé ou à la saison, ainsi que décortiquer les ingrédients principaux des petits gâteaux qui l’accompagnent. »
Pour goûter à cette cuisine extraordinaire et s’envoûter dans un séjour gastronomique au Japon, demandez à NostalAsie de vous aider dans la conception de votre voyage. Nous sommes spécialistes du Japon et nous sommes sûrs que vous trouverez des idées d’itinéraires sur notre site Internet et notre blog pour agrémenter de la meilleure façon possible votre séjour.
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