Cebu - General Santos - Lac Sebu - General Santos - Davao
Envol pour la ville de Général Santos, qui s'étend sur 53 600 hectares, depuis Cebu (ou depuis Manille, supplément de prix sur le vol intérieur). A l’arrivée, visite de la plantation d’ananas de Dole, le domaine fait 19000 hectares et produit jusqu’à mille tonnes d’ananas frais par jour. Puis continuation de la route jusqu’au Lac Sebu composé de 8 îlots, nous sommes chez les T’bolis. En soirée, spectacle de danses et de chants typiques T’bolis. Hébergement très simple.
Journée consacrée à l’exploration du pays des T’bolis : Lac Sebu, le plus pittoresque lac de haute montagne dans cette région Sud Est de Mindanao, les marchés colorés, les chutes d’eaux - sources du lac Sebu... Continuation sur Général Santos.
Visite du port de pêche très animé de Général Santos, puis route pour Davao. Arrêt dans un jardin d’orchidées et visite du Sanctuaire des aigles philippins où l’on essaie de sauvegarder cette espèce très rare en voie de disparition. Transfert à Pearl Farm Resort, une ancienne ferme de culture des perles transformée en un charmant hôtel sur pilotis tout confort, situé sur l’île Samal.
Journée libre en chambre et petit-déjeuner pour profiter de votre hôtel.
Transfert à l'aéroport, envol pour votre prochaine destination.
Situé au sud est de Mindanao, bordée par la mer des Célèbes au sud et le golfe de Davao à l’est, Davao est considérée comme est la porte d’accès à une belle région culminant par le pic le plus haut des philippines, le mont Apo.
Au nord de Général Santos, dans la région sud est de Mindanao, le lac Sébu, un lac de montagne, est le fief de la culture primitive des ethnies Baans et Tbolis. Il a huit îlots, envahi par les cultures de Tilapias (délicieux poissons d’eau douce sans petites arêtes et avec un chair très fin) et encerclé par les communautés de pêcheurs. Il faut également aller voir les marchés colorés, les chutes d’eau et les sources du lac. Les T’ Bolis, de culture animiste, sont environ 60 000 dans la région du sud de Kobato, vivent à 900 m d’altitude. Ils organisent des combats de chevaux, sur le même principe que les combats de coq, avec paris dans une ambiance électrique. Les femmes sont toujours en habits traditionnels, en tissage qu’ils appellent Tnalak, à base de fibre d’abaca, confectionnés à la main. Pendant les fêtes, elles sont arborées de lourdes ceintures à grelots et des bracelets de clochettes au poignet et à la cheville.
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